OFabulis est un jeu vidéo à mi-chemin entre point&click et MMORPG. Le jeu est en effet basé sur des énigmes. En plus de ce système de point&click, les joueurs peuvent choisir leur avatar, leur classe (érudit, aventurier, reporter ou technophile) et former un groupe.
L'univers d'OFabulis est contemporain et fantastique. Le jeu prend place dans les décors impressionnants ou intimistes de monuments allant de l'âge de pierre au XXème siècle. Par exemple, vous serez amenés à explorer l'abbaye du Mont-Saint-Michel, le Panthéon, le château d'If, la Basilique de Saint-Denis, la forteresse de Mont-Dauphin...
Le scénario d'OFabulis n'est pas linéaire : au fur et à mesure votre groupe sera amené à faire des choix qui influenceront le déroulement du jeu, ainsi que la fin de celui-ci.
L'univers d'OFabulis est contemporain et fantastique. Le jeu prend place dans les décors impressionnants ou intimistes de monuments allant de l'âge de pierre au XXème siècle. Par exemple, vous serez amenés à explorer l'abbaye du Mont-Saint-Michel, le Panthéon, le château d'If, la Basilique de Saint-Denis, la forteresse de Mont-Dauphin...
Le scénario d'OFabulis n'est pas linéaire : au fur et à mesure votre groupe sera amené à faire des choix qui influenceront le déroulement du jeu, ainsi que la fin de celui-ci.
Le jeu mêle 2D et 3D : les décors sont réalisés à partir de photos, les personnages sont en revanche en 3D. Ainsi, technologiquement parlant, le jeu est assez léger et devrait donc fonctionner sur des ordinateurs standards (une spécification plus précise sera annoncée après le test beta). Sur tablette, le jeu fonctionne sur Androïd, avec quelques limitations. Il devrait prochainement être porté sur Ipad et Windows Surface.
OFabulis est un projet porté par Edwige Lelièvre, le Centre d'Histoire Culturelle des Sociétés Contemporaines et l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, en partenariat avec Emissive et le Centre des monuments nationaux avec une musique de Xavier Hautbois. Avec la participation du groupe de recherche G-SICA, du laboratoire LLS de l’Université de Savoie et de l’IUT de Vélizy. Il bénéficie du soutien du Conseil régional d’Île-de-France.
